Entre les impressions papier, les déplacements professionnels et la gestion administrative, une clinique vétérinaire peut générer une empreinte carbone bien plus importante qu’on ne l’imagine.
Bonne nouvelle : il est aujourd’hui possible d’allier performance et écologie grâce à la dématérialisation et à l’automatisation des tâches administratives.
Un logiciel pour vétérinaire bien conçu peut devenir un allié essentiel pour réduire les émissions de CO₂, limiter les impressions et optimiser les déplacements, tout en améliorant la productivité du cabinet.
Les cliniques vétérinaires, comme toutes les structures de santé, consomment de l’énergie et génèrent des déchets à plusieurs niveaux :
Réduire cette empreinte n’est pas qu’un geste symbolique : c’est une démarche nécessaire, soutenue par les autorités publiques et les institutions européennes. Le Ministère de la Transition Écologique
encourage les entreprises à mesurer et réduire leurs émissions, tandis que la Fédération des Vétérinaires d’Europe (FVE)
promeut des pratiques numériques et logistiques plus durables.
Le papier reste l’un des principaux leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone d’un cabinet.
Grâce à la dématérialisation, un logiciel pour vétérinaire permet de se passer d’une grande partie des impressions :
Ces fonctionnalités permettent à la fois de gagner du temps et de réduire les déchets. Par exemple, une clinique réalisant 1 000 consultations par mois peut économiser plusieurs milliers de feuilles par an.
L’ADEME rappelle d’ailleurs que le numérique bien utilisé (hébergement raisonné, cloud mutualisé, envoi ciblé des e-mails) a un impact bien moindre que la production et le recyclage du papier.
En pratique, les logiciels modernes comme Epivet offrent la possibilité d’attacher directement ordonnances, radios, résultats d’analyse ou factures à la fiche patient, rendant les impressions totalement facultatives.
Autre poste d’émissions souvent oublié : les relances vaccinales, les rappels de traitements ou les communications client.
Autrefois envoyés par courrier postal, ces messages nécessitaient papier, enveloppes et transport.
Aujourd’hui, les rappels automatisés par e-mail ou SMS intégrés aux logiciels remplacent avantageusement les envois physiques.
Selon une estimation de l’ADEME, une entreprise qui remplace 500 courriers papier par des e-mails économise environ 25 kg de papier et 5 kg de CO₂ par an.
En plus de cet avantage écologique, la communication numérique améliore la réactivité des clients : un SMS de rappel de vaccination obtient un taux de lecture supérieur à 95 %.
Les laboratoires et appareils d’analyse modernes transmettent désormais les résultats sous format numérique.
Plutôt que d’imprimer ces documents, un logiciel pour vétérinaire peut les intégrer directement dans la fiche du patient.
Avantages :
Cette approche améliore aussi la traçabilité et la fiabilité des informations. L’ANSES encourage la digitalisation du suivi des animaux comme levier d’efficacité et de durabilité dans la médecine vétérinaire.
Les déplacements professionnels représentent une autre part importante de l’empreinte carbone du secteur vétérinaire.
Grâce à la planification réfléchie, il est possible d’optimiser les tournées et rendez-vous pour regrouper les visites à domicile ou en élevage,
Un cabinet rural peut ainsi réduire jusqu’à 20 % de ses kilomètres parcourus simplement en organisant mieux ses tournées.
Le Ministère de la Transition Écologique souligne d’ailleurs que l’éco-mobilité repose sur une planification numérique et la mutualisation des trajets professionnels.
En complément, la télé-expertise et la visioconsultation, désormais autorisées dans certaines situations, réduisent les déplacements inutiles et permettent de limiter la consommation de carburant.
Les logiciels modernes ne se contentent pas de simplifier la gestion quotidienne : ils deviennent de véritables outils de pilotage environnemental.
Certains intègrent désormais des tableaux de bord permettant de :
En automatisant les tâches administratives et en digitalisant la communication, la clinique réduit ses déchets, améliore son efficacité et participe activement à la transition écologique du secteur vétérinaire.
Cette démarche s’inscrit pleinement dans la logique de “clinique durable”, déjà encouragée par la FVE et par les politiques nationales en faveur du numérique responsable.
Réduire son empreinte carbone en clinique vétérinaire ne relève pas d’un grand chantier, mais d’une multitude de petits gestes rendus possibles par la technologie.
Grâce à un logiciel pour vétérinaire bien pensé, chaque action compte : envoyer une ordonnance par e-mail, enregistrer un résultat d’analyse en ligne, regrouper des visites ou programmer un rappel par SMS.
La dématérialisation et la gestion numérique permettent de conjuguer efficacité, traçabilité et responsabilité environnementale.
Un outil numérique bien utilisé devient ainsi un véritable levier pour une clinique plus verte, plus fluide et tournée vers l’avenir.
L’équipe Epivet
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